Cette semaine de la Pentecôte, dans le grand pays qui jouxte la Teutonie (non, pas notre glorieuse et triomphante Patrie où la Lumière vainquit les ténèbres, mais l’autre grand voisin, côté est), une information absolument sensationnelle a été placardée en «une» des journaux, semant, on s’en doute, le trouble, l’incompréhension, la consternation chez leurs lecteurs abasourdis.
Je n’aurais probablement rien su de ce big-bang médiatique qui a ébranlé les rives de la Vistule si je n’était pas tombé par hasard sur le dernier numéro de Newsweek Polska, dans un banal Kiosk de Prenzlauer Berg. (Hebdomadaire étatsunien -> Publié en Pologne -> Vendu en Allemagne. Vive la mondialisation!) Bien entendu, tout comme vous, chers amis lecteurs, je n’y entends goutte à la langue polonaise qui, soit dit en passant, est une autre paire de manches en matière de complexité et d’imprononçabilité que l’allemand qui, en comparaison, passe pour de la gnognotte ultra-fastoche avec ses quatre pauvres déclinaisons et sa prononciation éminemment musicale et ô combien plaisante à l’oreille. Comme quoi, il y a toujours pire. Bref. Où en étions.nous? Ah oui, Newsweek Polska. Heureusement, l’illustration en première page était suffisamment parlante pour que même les plus obtus d’entre les profanes comprennent aisément de quoi il en retourne sans recourir aux approximations de Google Traduction:
Je n’aurais probablement rien su de ce big-bang médiatique qui a ébranlé les rives de la Vistule si je n’était pas tombé par hasard sur le dernier numéro de Newsweek Polska, dans un banal Kiosk de Prenzlauer Berg. (Hebdomadaire étatsunien -> Publié en Pologne -> Vendu en Allemagne. Vive la mondialisation!) Bien entendu, tout comme vous, chers amis lecteurs, je n’y entends goutte à la langue polonaise qui, soit dit en passant, est une autre paire de manches en matière de complexité et d’imprononçabilité que l’allemand qui, en comparaison, passe pour de la gnognotte ultra-fastoche avec ses quatre pauvres déclinaisons et sa prononciation éminemment musicale et ô combien plaisante à l’oreille. Comme quoi, il y a toujours pire. Bref. Où en étions.nous? Ah oui, Newsweek Polska. Heureusement, l’illustration en première page était suffisamment parlante pour que même les plus obtus d’entre les profanes comprennent aisément de quoi il en retourne sans recourir aux approximations de Google Traduction: